Canada. La planification de l'impôt sur le revenu pour la structure d'un régime d'options d'achat d'actions nécessite la loi sur le revenu et l'expertise en droit des sociétés que nos avocats spécialisés en fiscalité de Vancouver apportent à toutes les questions fiscales des clients. Dans le cas d'un régime d'options d'achat d'actions, l'employé reçoit ou acquiert le droit d'acquérir des actions de la société, habituellement à une certaine période dans le futur. Parfois, l'employé acquiert certaines actions au moment de la création du régime d'options d'achat d'actions avec le droit d'acquérir des actions supplémentaires à l'avenir. L'acquisition des droits de souscription d'actions peut être différée pour une certaine période et ne sera généralement acquise que si la personne est toujours employée par la société. Contrat d'options d'achat d'actions pour employés - Exigences Il doit y avoir un contrat d'options d'achat d'actions écrit spécifiant comment le salarié acquiert des droits sur des actions supplémentaires, le prix à payer pour ces actions et les exigences d'acquisition. Pour les sociétés fermées, le maintien d'un emploi auprès de la société est généralement une condition préalable à l'exercice de l'option d'achat d'actions et à la conservation des actions. En cas de départ, même si l'employé est congédié, les actions sont habituellement rachetées par la société sur une certaine base, car une société fermée ne veut pas d'actionnaires qui pourraient avoir des intérêts défavorables. Nos meilleurs avocats fiscalistes de Vancouver sont expérimentés dans la planification fiscale pour la structuration et la rédaction d'accords d'options d'achat d'actions. Si les actions de la société sont cotées en bourse, l'employé sera généralement autorisé à garder les actions même après la cessation de son emploi. Toutefois, il ou elle sera généralement incapable d'exercer des options d'achat d'actions pour acquérir des actions supplémentaires après avoir quitté son emploi auprès de la société. Plans d'options d'achat d'actions sont l'une des menottes d'or proverbiale puisque les droits des employés sont limités ou résiliés en cas de cessation d'emploi, donc une planification fiscale appropriée et la planification d'entreprise est essentielle dans la structuration des termes et conditions du plan. La plupart des plans d'options d'achat d'actions se limitent à la gestion, mais certains plans d'options d'achat d'actions sont mis à la disposition de tous les employés de l'organisation. Dans ce cas, il y aura habituellement un régime d'options d'achat d'actions différent pour la direction et pour les employés non cadres. Un autre avantage de planification fiscale pour les plans d'options d'achat d'actions d'un point de vue de l'entreprise est qu'il n'y a pas de sortie de trésorerie pour la société. Au contraire, si les employés sont tenus d'acheter les actions sous option à leur juste valeur marchande, la société reçoit effectivement des fonds. Les paiements ne sont exigés par la société que si les dividendes sont déclarés. Régimes d'options d'achat d'actions pour employés - Fiscalité L'émission d'options d'achat d'actions a des incidences fiscales canadiennes qui varient selon que la société est privée ou publique et dépendent aussi de la durée des actions après l'exercice de l'option d'achat d'actions. Expérience pour bien vous conseiller. Lorsque des options d'achat d'actions sont offertes sans réorganisation fiscale et qu'un avantage est conféré à l'employé, la Loi de l'impôt comporte des dispositions particulières applicables. Les prestations d'options d'achat d'actions sont imposables en tant que revenu d'emploi parce qu'elles constituent en fait une solution de rechange à la rémunération en espèces. La règle de common law selon laquelle les options sur actions sont apparues au cours de l'année où l'option d'achat d'actions a été accordée a créé une incertitude considérable dans la détermination de la valeur des avantages découlant des options d'achat d'actions non exercées. La Loi canadienne sur l'impôt sur le revenu résout l'incertitude en précisant à la fois la méthode d'évaluation et le moment de l'inclusion de la prestation dans le revenu imposable. Une personne est imposable sur la valeur des avantages d'options d'achat d'actions obtenus en vertu de l'emploi. La prestation est déterminée en fonction des actions effectivement acquises aux termes du régime d'options d'achat d'actions. La première question est la suivante: l'avantage conféré en vertu de la relation de travail Émission d'actions pour d'autres considérations (par exemple, en cadeau ou en contrepartie de garantir un prêt) ne donne pas un avantage de l'emploi. De même, l'émission d'actions en vertu du mandat de l'individu (tel qu'un directeur) n'est pas imposable en vertu de ces règles. L'événement déclencheur pour la comptabilisation des options d'achat d'actions est l'acquisition d'actions à un prix inférieur à leur valeur au moment de l'acquisition des actions. Le moment de l'acquisition est déterminé par référence aux principes du droit contractuel et du droit des sociétés. Sauf dans les cas particuliers (dont il est question ci-dessous), la valeur d'une prestation d'achat d'actions ne peut être déterminée qu'après l'exercice de l'option d'achat d'actions, c'est-à-dire au moment de l'acquisition des actions. La valeur de l'avantage est la différence entre le coût de l'option pour l'employé, le montant payé pour les actions et la valeur des actions au moment où ils sont acquis du régime. Les actions sont considérées comme acquises lors de l'exercice de l'option. Valeur signifie juste valeur marchande. Dans le cas des titres négociés en bourse, les cours boursiers seront habituellement considérés comme indicatifs de la juste valeur marchande. Étant donné que les cours cotés reflètent en soi la valeur des participations minoritaires, il n'est pas nécessaire d'actualiser davantage leur valeur pour les intérêts minoritaires. Il est plus difficile de déterminer la valeur des actions d'une société privée, ce qui sera le cas des propriétaires-gestionnaires et des entreprises étroitement détenues. Les actions des sociétés privées sont généralement évaluées par référence aux bénéfices futurs estimés et à la valeur nette rajustée des actifs. La valeur au prorata de la société est ensuite ajustée pour refléter une réduction pour les intérêts minoritaires, le manque de marché, etc. En ce qui concerne la planification fiscale des régimes d'options d'achat d'actions, il existe deux règles spéciales d'imposition du revenu. L'une s'applique aux options émises par les sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC) et l'autre aux acquisitions d'actions de capital-actions prescrites. Ces règles sont des dispositions incitatives destinées à stimuler la participation aux capitaux propres dans les sociétés canadiennes. Les actions acquises dans le cadre d'un régime d'options d'achat d'actions dans le cadre d'une opération à durée déterminée bénéficient d'un traitement préférentiel si elles sont détenues pendant au moins deux ans. C'est-à-dire si les actions sont émises par la société d'employeurs ou par une autre société privée sous contrôle canadien avec laquelle l'employeur ne traite pas à temps. Un employé peut différer la comptabilisation de l'impôt sur le revenu de tout avantage découlant d'options d'achat d'actions émis par une société privée sous contrôle canadien jusqu'à ce que les actions soient cédées. À la disposition des actions, l'employé est imposable sur seulement 34 de la valeur de l'avantage tiré. L'employé bénéficie en différant tout impôt sur le revenu qui serait autrement survenu lors de l'acquisition des actions par un régime ordinaire d'options d'achat d'actions et par la conversion de ce qui serait normalement un revenu source d'emploi totalement imposable en revenu qui est effectivement imposable à un taux inférieur. La partie de la prestation qui est imposable pour l'employé n'est pas un gain en capital mais un revenu d'emploi imposé au même taux qu'un gain en capital. L'employé qui cède des actions d'une société privée sous contrôle canadien dans un délai de deux ans à compter de la date d'acquisition est imposable dans l'année de disposition sur la valeur intégrale de tout avantage découlant de leur acquisition. Il existe également une règle spéciale pour les régimes d'options d'achat d'actions dans le cadre de laquelle un particulier acquiert des actions de capital-actions prescrites dans une société d'employeur ou dans une société avec laquelle l'employeur ne traite pas à temps. Un employé est assujetti à un impôt sur 34 seulement de la valeur de tout avantage découlant d'un tel régime. Toutefois, l'avantage est imposable sur une base courante. Les conditions suivantes doivent être remplies pour qu'un régime d'options d'achat d'actions puisse bénéficier de ce traitement fiscal spécial: Les actions doivent être prescrites au moment de leur vente ou de leur émission. L'employé doit acheter les actions au moins à leur juste valeur marchande au La date à laquelle l'entente a été conclue et le salarié doit avoir été à distance avec l'employeur et la société émettrice au moment où l'entente a été conclue. Le contenu de cet article est destiné à fournir un guide général sur le sujet. Des conseils spécialisés devraient être recherchés au sujet de votre situation spécifique. Pour imprimer cet article, il vous suffit d'être enregistré sur Mondaq. Lorsqu'une société accepte de vendre ou d'émettre ses actions à des employés, ou lorsqu'une fiducie de fonds commun de placement accorde des options à un employé pour acquérir des parts de fiducie, l'employé peut: Bénéfice imposable. Qu'est-ce qu'un avantage imposable en matière de valeurs mobilières (actions) Quels sont les avantages Types d'options. Quand est-il imposable Déduction pour don de bienfaisance de titres Conditions à satisfaire pour obtenir la déduction lorsque le titre est donné. Déductions de l'avantage d'option Conditions à remplir pour être admissible à la déduction. Déclarer l'avantage sur le feuillet T4 Codes à utiliser sur le feuillet T4. Retenue des retenues sur la paie sur les options Déterminez quand vous devez retenir les cotisations au RPC ou l'impôt sur le revenu des options. (Les primes d'assurance-emploi ne s'appliquent pas aux options). Formulaires et publications Menu secondaire Information sur le siteSi le revenu tiré des options d'achat d'actions est considéré comme un revenu ordinaire en vertu de notre législation fiscale, une déduction spéciale a été créée en 1984 qui permet aux particuliers de déduire 50 pour cent des revenus tirés de l'exercice d'options d'achat d'actions. (JOHN TOMASELLIISTOCKPHOTO) Bien que les revenus tirés des options d'achat d'actions soient considérés comme des revenus ordinaires en vertu de notre législation fiscale, une déduction spéciale a été créée en 1984, qui permet aux particuliers de déduire 50 pour cent des revenus tirés de l'exercice des options d'achat d'actions. (JOHN TOMASELLIISTOCKPHOTO) Un moyen simple d 'imposer les riches. Lindsay Tedds. Daniel Sandler et Ryan Compton Lindsay Tedds est professeur adjoint à l'École d'administration publique de l'Université de Victoria. Daniel Sandler est professeur de droit à Western University. Ryan Compton est professeur agrégé au Département d'économie de l'Université du Manitoba Dans le cadre de sa campagne électorale de 2011, le Parti libéral du Canada a publié Votre famille. Ton futur. Votre Canada. Ce document de la plate-forme comprenait deux propositions visant à accroître l'équité dans notre système fiscal. Premièrement, l'annulation des réductions d'impôt des sociétés du gouvernement Harper, a reçu une attention significative des médias durant les élections. L'autre n'a reçu aucune attention du tout, ce qui est surprenant compte tenu de l'intérêt actuel pour l'augmentation des recettes fiscales reçues des personnes riches. La proposition libérale ignorée prévoyait des limites à l'application de l'alinéa 110 (1) d) de la Loi de l'impôt sur le revenu qui prévoit le traitement fiscal préférentiel des options d'achat d'actions. Un gouvernement qui affirme que son engagement à équilibrer le budget devrait envisager sérieusement l'élimination de cette déduction. Certains employés reçoivent une partie de leur rémunération d'emploi sous la forme d'options d'achat d'actions. Une option d'achat d'actions donne le droit d'acheter des actions d'une société dans un délai donné à un prix déterminé. Les options d'achat d'actions sont utilisées dans le cadre d'un programme de rémunération à l'emploi dans les situations où il existe un désir de lier la rémunération au rendement de l'entreprise. Plus la société se développe, plus ses options d'achat d'actions valent la peine. Les options d'achat d'actions sont devenues la composante la plus importante de la rémunération des PDG et des hauts dirigeants des grandes sociétés ouvertes au Canada. Les dirigeants comme les options d'achat d'actions parce qu'ils les ont rendus extrêmement riches, indépendamment de la perspicacité de gestion individuelle ou collective. Au Canada, le revenu tiré des options d'achat d'actions bénéficie d'un traitement fiscal préférentiel par rapport à d'autres formes de rémunération de l'emploi. En vertu de la législation fiscale canadienne, les bénéficiaires d'options d'achat d'actions n'engagent pas de passif d'impôt sur les options d'achat d'actions tant que les options n'ont pas été exercées. Le montant qui doit être inclus dans le revenu d'emploi à l'exercice est égal à la différence entre la juste valeur marchande de l'action à la date où l'option est exercée et le prix d'exercice. Bien que le revenu tiré des options d'achat d'actions soit considéré comme un revenu ordinaire en vertu de notre législation fiscale, une déduction spéciale a été créée en 1984 (alinéa 110 (1) d) qui permet aux particuliers de déduire 50 pour cent du revenu tiré de l'exercice d'options sur actions . Autrement dit, seule la moitié de l'avantage lié à l'emploi des options d'achat d'actions est assujettie à l'impôt. Par exemple, disons que le PDG de WidgetCo gagne un salaire annuel de 500 000, et pour cette année fiscale a également reçu un bonus de 400 000. Compte tenu de ce niveau de revenu, le chef de la direction est confronté au taux d'imposition marginal le plus élevé sur tout revenu supplémentaire. Nous supposerons un taux d'imposition marginal fédéral et provincial combiné de 45 p. Le 1er mars, le chef de la direction choisit d'exercer les options attribuées précédemment. Le stock de la société est actuellement négocié à 20 ans. Elle exerce 100 000 options et vend les actions obtenues de l'exercice le même jour (plus de 90 pour cent des options d'achat d'actions sont exercées et vendues le même jour) (Exercice) de 15. Les actions exercées sont évaluées à 1,5 million (100 000 options à 15 actions) et la vente est évaluée à 2 millions (100 000 options à 20 actions). Le PDG obtient alors une prestation de revenu d'emploi évaluée à la différence de ces deux montants, soit 500 000. Si le total de 500 000 était taxé, comme il se doit, elle paierait 225 000 $ en impôts, ce qui lui laisserait un revenu après impôts sur les options d'achat d'actions de 275 000 $. Mais en raison de la déduction spéciale, elle ne paie que l'impôt sur 250.000 de la prestation de revenu pour un total de 112.500. C'est-à-dire, avec la déduction spéciale, le chef de la direction paie 112 500 moins en impôt que ce qu'elle serait autrement. Soyons clairs: ce 500 000 n'est pas un gain en capital. Un gain en capital n'est comptabilisé que si les actions sont achetées puis détenues parce qu'il ya un élément de risque associé à la détention des actions. En achetant et en vendant les actions le même jour, elle se contente de réaliser l'avantage de revenu qui avait été rattaché aux options d'achat d'actions attribuées. Il s'agit simplement d'une rémunération différée. L'alinéa 110 (1) d) visait à encourager une utilisation plus généralisée des plans d'options d'achat d'actions des employés. Toutefois, aucun lien de causalité explicite n'a été établi entre l'utilisation croissante des stock-options et l'existence de la déduction fiscale. Aux États-Unis, l'utilisation d'options d'achat d'actions s'est accrue beaucoup plus rapidement et a atteint un niveau beaucoup plus élevé que jamais observé au Canada, malgré une préférence fiscale plus limitée. Les libéraux proposent de limiter la déduction aux 100 000 premiers revenus annuels d'emploi des options d'achat d'actions, pour une augmentation totale prévue des recettes fiscales d'environ 300 millions par année. Bien que la proposition des libéraux soit un pas dans la bonne direction pour traiter de l'iniquité dans notre régime fiscal, nos recherches (ici, ici et ici) démontrent clairement que toute la déduction devrait être éliminée (en abrogeant l'alinéa 110 (1) d) De la Loi de l'impôt sur le revenu) ou une période de détention aux actions exercées afin d'être admissible à la déduction, comme c'est le cas aux États-Unis. Faire ce simple changement à notre régime fiscal permettrait aux Canadiens riches de payer leur part équitable des impôts. Cela nuirait également aux efforts des gouvernements pour équilibrer le budget et rétablir l'équité et la progressivité de notre système fiscal. Suivez Lindsay Tedds sur Twitter: LindsayTedds Restrictions copy Thomson Reuters 2012. Tous droits réservés. La républication ou la redistribution du contenu de Thomson Reuters, y compris par framing ou des moyens similaires, est interdite sans le consentement écrit préalable de Thomson Reuters. Thomson Reuters n'est pas responsable des erreurs ou des retards dans le contenu de Thomson Reuters, ni de toute action prise sur la base de ce contenu. Thomson Reuters et le logo Thomson Reuters sont des marques de commerce de Thomson Reuters et de ses sociétés affiliées. Données sélectionnées fournies par Thomson Reuters. copy Thomson Reuters Limited. Cliquez sur Restrictions. Copyright 2017 Le Globe and Mail Inc. Tous droits réservés. 351, rue King Est. Suite 1600. Toronto. ON Canada M5A 0N1 Phillip Crawley, éditeur
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